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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 20:00

OGM

OGM et sécurité alimentaire : oui à plus de transparence et d'indépendance !

Bruxelles, le 15 novembre 2012,

L'étude du biologiste Gilles-Eric Séralini (Université de Caen), menée durant

deux ans sur des rats nourris avec des aliments contenant du maïs génétiquement

modifié (variété NK603), avec et sans l'herbicide Roundup, ainsi qu'avec du Roundup seul, et dont les résultats ont été publiés le 19 septembre dans la revue Food and Chemical Toxicology, a relancé le débat sur les possibles risques liés à la consommation d'Organismes génétiquement modifiés (OGM) et sur la fiabilité des études de

toxicologie à 90 jours, jusqu'ici utilisées pour justifier leur autorisation.

Conscients des craintes sanitaires que les OGM suscitent chez les Européens, nous, députés européens, demandons :

  1. La transparence sur les études d'évaluations des risques sur la santé et l'environnement ayant conduit à l'autorisation des pesticides et à la culture
  2. et/ou l'importation des OGM dans l'Union européenne. Nous exigeons la communication des données brutes de ces études sur un site public en ligne
  3. et sous une forme exploitable statistiquement;
  4. Que soient engagés des travaux indépendants et contradictoires sur les effets à long terme (deux ans et plus) de la consommation d'OGM associés ou non à des pesticides;
  5. Que l'Efsa et la Commission européenne revoient les lignes directrices sur l'évaluation des OGM pour y inclure les impacts potentiels des OGM à long terme, directs ou indirects, sur l'environnement et la santé, conformément aux exigences
  6. de la directive 2001/18/CE sur la dissémination volontaire d'OGM dans l'environnement, qui n'est malheureusement pas respectée, comme l'ont rappelé
  7.  les conclusions du Conseil des ministres de l'Environnement du 4 décembre 2008;
  8. Qu'un fonds permettant le financement d'études contradictoires et indépendantes soit créé et géré par l'Union européenne mais abondé par les industriels
  9.  (car ce n'est pas aux contribuables de financer de telles études);
  10. Que la Commission européenne propose un cadre législatif portant sur la qualité
  11.  et l'intégrité des processus d'expertise ainsi que sur la prévention des conflits d'intérêt, notamment en ce qui concerne les agences européennes.


Premiers signataires :

,

 

 

 

http://huff.to/REycwu

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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 19:52

Une nouvelle étude commanditée par le WWF dévoile qu’entre 2000 et 2010, l’équivalent de
18 704 tonnes de thon rouge aurait transité via le Panama sans avoir été déclarées à
la Commission Internationale pour la Conservation des Thonidés de l'Atlantique (ICCAT), organe officiel international de gestion des pêches.

Au-delà du Panama, d’autres pays méditerranéens comme l’Espagne, l’Italie, le Maroc, la Tunisie et la Turquie ainsi que le Japon seraient impliqués. Suite à ces nouvelles révélations, le WWF appelle l’ICCAT et les pays concernés à mener d’urgence une enquête approfondie avec les données plus détaillées dont ils disposent.

« C’est la première fois qu’une étude traite de ce sujet et elle ne montre certainement

que la partie visible de l’iceberg. Nous avons enfin les preuves d’une situation

dont tout le monde est au courant depuis des années y compris l’ICCAT » a déclaré

Sergi Tudela, responsable du programme pêche au WWF Méditerranée.

Basée à la fois sur la comparaison entre des déclarations douanières et données d’échanges commerciaux et les rapports de l’ICCAT, cette étude révèle, qu’en une décennie 14 327 tonnes de thon rouge transformé, soit l’équivalent de 18 704 tonnes

en poids vif, auraient transité par le Panama.

14 327 tonnes de thon rouge transformé ont été importées au Panama depuis les pays méditerranéens (Espagne, Italie, Maroc, Tunisie et Turquie), puis 13 730 tonnes ont

été exportées du Panama vers le Japon.

Le marché a observé un pic en 2003 et 2004, avec 3 000 à 4 000 tonnes par an,

puis les transferts se sont maintenus, à des volumes moindres, au moins jusqu’à 2010 (dernière année où les données sont publiées).

« Selon les documents disponibles, pas un seul de ces échanges n’a été déclaré

à l’ICCAT » ajoute Sergi Tudela. « Si cela est confirmé, il s’agirait alors de pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN) selon les normes de la FAO (Nations unies), laquelle qualifie ce genre de pratique de « crime contre l’environnement ». »

Les pays mentionnés dans cette étude sont des parties contractantes de l’ICCAT.

Selon les règles de l’ICCAT tout commerce international du thon rouge doit être

rapporté afin que les informations soient recoupées avec les quotas de capture.

Il est cependant très probable que les poissons de ce commerce non déclaré n’aient

jamais touché le sol Panaméen, et que des navires de transport battant

pavillon panaméen et les entreprises basées au Panama aient servi d’intermédiaire

entre les pays producteurs et le marché final au Japon.

Selon l’ICCAT, les activités illégales (INN) de pêche du thon rouge ont atteint des sommets en 2007 avec un total de captures estimé à 61 000 tonnes, soit deux fois les quotas légaux autorisés. Depuis cette date, la diminution des quotas et l’augmentation

des contrôles ont réduit de façon significative les captures légales mais de gros doutes persistent sur le maintien de cette pêche illégale.

Le WWF appelle l’ICCAT, les pays cités dans l’étude ainsi que l’Union européenne, à lancer une enquête dans les plus brefs délais à partir des données détaillées dont elles disposent et de prendre les mesures et sanctions nécessaires qui s’imposeront le cas échéant.

Notes du WWF :

  • La pêche au thon rouge d’Atlantique en Méditerranée a connu une situation de surpêche, au cours des dernières années, alimentée par la demande japonaise et
  • le développement massif des fermes d'engraissement de thon dans la région.
  • En 2007 par exemple, la pêche légale et illégale représentait en moyenne
  • un total de captures 2 à 4 fois le quota recommandé par les scientifiques.
  • La réunion annuelle de l’ICCAT pour 2012 se tiendra à Agadir, au Maroc,
  • du 12 au 19 novembre prochain. Afin d’assurer la reconstitution du stock,
  •  le WWF demande à l’ICCAT de s’en tenir aux avis scientifiques et de maintenir
  •  le TAC (Total Autorisé de Captures) actuel sur les 3 prochaines années
  •  (TAC fixé à 12 900 tonnes par an).

Pour plus d’information :

> L étude commanditée par le WWF est disponible sur demande.

> Etude récente du WWF montrant la surcapacité de la flotte de pêche du thon rouge :

 

http://iccat.int/Documents/CVSP/CV068_2012/no_1/CV068010140.pdf

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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 19:46

A l'occasion d'un entretien publié dans Le Monde du samedi 10 novembre,

Michel Rocard indique ne pas comprendre la décision prise par François Hollande

de fermer la porte au gaz de schiste pendant son quinquennat.

Depuis la loi du 13 juillet 2011, la fracturation hydraulique, seule technique disponible

à ce jour pour exploiter les hydrocarbures de roche, mais dont les effets sur l'environnement (pollution des nappes phréatiques, émanations de méthane, etc.) sont potentiellement néfastes, a été interdite en France. Le chef de l'Etat marche, sur ce sujet, dans les pas de Nicolas Sarkozy.

Ce choix fait tempêter l'ancien premier ministre de François Mitterrand :

"Quand on sait que le gaz de Lacq était extrait par fracturation hydraulique

sans dégâts sur place, on s'interroge. Or, la France est bénie des dieux.

Pour l'Europe, elle serait au gaz de schiste ce que le Qatar est au pétrole.

Peut-on s'en priver ? Je ne le crois pas."

Une analyse saluée dès mardi par François Fillon, candidat à la présidence de l'UMP : "Comme Michel Rocard – décidément un des esprits les plus éclairés du pays – l'a dit :

le gaz de Lacq était extrait par fracturation hydraulique et ça ne faisait de peine à personne..."

"LA PROVINCE DU BON ROI HENRI"

La comparaison gaz de Lacq et gaz de schiste était tentante. Et on comprend bien pourquoi elle est venue à l'esprit de l'ancien responsable du PSU.

Etudiant à l'ENA en 1957, M. Rocard doit parfaitement se souvenir du lancement de l'exploitation du bassin de Lacq. Comme en témoignent les reportages de l'époque préservés à l'Institut national de l'audiovisuel, les milliards de mètres cubes de gaz naturel "enfouis à 4 000 m, sous la province d'Aquitaine, celle du bon roi Henri"

devaient permettre "de guider la France vers l'indépendance énergétique"

en diminuant d'un bon tiers nos importations de charbon.

Un Texas en plein Sud-Ouest ! La France semblait alors également "bénie des dieux". C'est ce même espoir qui berce aujourd'hui les partisans de l'exploitation du gaz de schiste, persuadés que le sous-sol français en regorge, même si aucune évaluation des réserves de l'Hexagone n'a été encore réalisée. Dont acte.

En revanche, côté technique, la mémoire de l'ancien député européen lui joue quelques tours.

Pour exploiter Lacq, découvert en 1951, l'industrie française a réalisé de belles prouesses techniques. Le gaz naturel était anormalement riche en hydrogène sulfuré, et les ingénieurs de l'époque ont dû inventer un acier spécial capable de résister à la corrosion.

En revanche, de fracturation hydraulique, il ne fut pas question, car "comme tous les gisements de la région Aquitaine, Lacq est naturellement fracturé", explique

un chercheur de l'université de Pau et des pays de l'Adour (Pyrénées-Atlantiques).

Un constat confirmé par Nicolas Terraz, directeur général de Total Exploration-Production France, filiale du groupe pétrolier qui gère les puits aquitains

depuis la fusion d'Elf et de Total : "Les réservoirs disposent, c'est exact,

de réseaux de fractures naturelles. La roche (du calcaire) a dû être stimulée,

mais pas par fracturation hydraulique. La technique de l'acidification a été utilisée.

Elle permet de faire migrer plus facilement les poches d'hydrocarbures vers le puits. C'est différent de la fracturation hydraulique, où l'injection à haute pression

d'un fluide (mélange d'eau, de sable et d'adjuvants chimiques) ouvre dans le schiste

des fissures qui peuvent s'étendre sur plusieurs centaines de mètres."

"CIRCONSTANCES COÏNCIDENTES"

Développer Lacq fut néanmoins un défi.

Dans les années 1950 et 1960, 33 millions de m3 de gaz naturel sont extraits

chaque jour, de quoi assurer entre 40 % et 50% de la consommation française.

Comme le confirme M. Terraz, "à l'époque, l'impact sur l'environnement n'était

pas pris en compte. On raisonnait plutôt en termes de sécurité. Et, à Lacq,

la question-clé était la maîtrise des émanations de dioxyde de soufre (SO2),

un gaz très toxique".

Les progrès techniques et l'épuisement annoncé des puits, dont la grande majorité fermera fin 2013 (aujourd'hui Total produit 2,5 millions de m3 par jour), ont permis d'éliminer les rejets toxiques à 99,6 % contre 94 % dans les années 1970,

selon le groupe pétrolier.

Reste un point commun au gaz de Lacq et au gaz de schiste, que Michel Rocard

en revanche n'a pas évoqué : les mini-séismes. "Quand vous changez la pression

du fluide dans un sous-sol, vous en modifiez les contraintes, et êtes confrontés à une sismicité induite", indique l'universitaire palois. A Lacq, les secousses enregistrées n'auraient jamais dépassé la magnitude 4.

A Youngstown aussi, petite ville industrielle américaine de l'Ohio, des secousses

sismiques de magnitude allant de 2,1 à 4 ont été enregistrées. Une douzaine entre

mars 2011 et mars 2012. Selon un rapport du département des ressources naturelles

de l'Etat, rendu public le 9 mars 2012, des "circonstances coïncidentes" montrent

que l'exploitation locale des gaz de schiste les aurait provoquées.

 

 


http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/11/15/gaz-de-schiste-gaz-de-lacq-les-erreurs-de-michel-rocard-et-de-francois-fillon_1790826_3244.html#xtor=RSS-3208

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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 19:19

Midi Libre

 

La question de l'exploitation du gaz de schiste en France est loin d'être bouclée. Mardi, François Hollande a déclaré lors de sa première conférence de presse que "la recherche est possible sur d'autres techniques que celle de la fracturation hydraulique." Alors quelles techniques ?

Alors qu'il avait, semble-t-il, fermer la porte aux industriels en rejetant la reprise des recherches sur l'exploitation des gaz de schiste préconisée dans le rapport GalloisFrançois Hollande précise aujourd'hui qu'il "prendra ses responsabilités" si une technique propre apparaissait pour exploiter le gaz de schiste, ce qui relance le débat selon Le Monde.

Cette déclaration rassure sans doute les industriels, mais inquiète toujours autant les opposants ou les sceptiques...

José Bové et bons ombres d'écologistes, plusieurs ONG et aussi le Front de Gauche de Jean-Luc Mélenchon, restent résolument hostiles par principe à toute exploitation du gaz de schiste, avec ou sans fracturation.

Ils voient dans les énergies fossiles une entrave à la lutte contre le réchauffement climatique. Une position clairement réaffirmée mercredi par la Fondation Nicolas Hulot, qui exige que la recherche publique et privée se concentre "sur les énergies renouvelables".

Peut-on exploiter le gaz de schiste proprement ?

La fracturation hydraulique (interdite en 2011) consiste à injecter sous pression à de grandes profondeurs de l'eau (95%) additionnée de sable (4,8%) et d'adjuvants chimiques (0,2%). Le tout permet de créer de petites fissures dans la roche-mère et de libérer le pétrole ou le gaz de schiste qu'elle contient.

Cette technique jugée trop gourmande en eau et dramatique pour les nappes phréatiques a stoppé pour l'instant les ambitions des industriels qui ont obtenu des permis sur le sol français. Mais la porte n'est pas refermée. D'autres pistes sont à l'étude pour réduire les risques environnementaux liés à l'extraction du gaz de schiste.

Améliorer la fracturation hydraulique ?

Les industriels ne lâchent pas la belle affaire et sont à pied d'oeuvre pour trouver des moyens pour "améliorer la fracturation hydraulique au niveau environnemental, pour la rendre plus acceptable" selon Jean-Louis Schilansky, président de l'Union française des industries pétrolières (Ufip).

Certaines sociétés proposent déjà d'utiliser "des adjuvants à l'impact faible dans l'environnement : des produits de qualité alimentaire comme la gomme de guar (un épaississant d'origine végétale, ndlr)"

Des produits soit disant "non toxiques pour l'environnement", souligne François Kalaydjian, directeur des technologies durables à l'IFP Energies Nouvelles (qui est quand même, faut-il le noter, l'ex-Institut français du pétrole). "On pourrait travailler aussi sur un matériau qui remplacerait le sable et éviterait d'avoir à utiliser des adjuvants", avance-t-il.

D'autres techniques d'extraction ?

Le second grand axe de recherches vise à remplacer l'eau utilisée pour la fracturation hydraulique par d'autres liquides, comme du GPL (gaz de pétrole liquéfié) ou même du gaz comme le gaz carbonique. Plusieurs sociétés sont actives sur ce créneau en Amérique du Nord.

Le canadien Gasfrac expérimente une technique de fracturation au gel de propane, et l'américain Baker Hughes travaille sur le CO2 ou l'azote (procédé dit "VaporFrac"). Cependant, "il reste à démontrer que ces technologies sont aussi sûres et économiques que la fracturation hydraulique", souligne Christopher Baronzzi, un avocat américain spécialisé dans l'industrie pétrolière.

Enfin, des méthodes radicalement différentes sont évoquées au sein du secteur, mais ne sont encore que des hypothèses... Elles visent à fissurer la roche-mère non plus par l'injection d'un fluide sous pression, mais par des des procédés thermiques, acoustiques, ou encore des micro-charges explosives. Attention toutefois au risque de micro-séismes qui sont apparus lors de forages exploratoires au Royaume-Uni.

Rien de bien rassurant pour l'instant...

 


http://www.midilibre.fr/2012/11/15/gaz-de-schiste-des-recherches-en-cours-pour-l-extraire-proprement,594798.php

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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 19:15

planet http://bit.ly/XcUZFz

ENVIRONNEMENT - La firme responsable de la marée noire du Golfe du Mexique en 2010 va devoir verser la «plus grosse amende de l'histoire américaine»

BP versera 4,5 milliards de dollars pour la marée noire du golfe du Mexique dans le cadre de l'accord à l'amiable passé avec les autorités américaines pour régler une partie du dossier de la marée noire du golfe du Mexique. C'est «la plus grosse amende pénale de l'histoire américaine» selon une source proche du dossier.

BP avait confirmé «être en discussions avancées avec le département de la Justice (DoJ) américain et avec les autorités boursières (SEC) concernant un règlement de toutes les poursuites pénales fédérales et boursières en lien avec l'accident de Deepwater Horizon».

Bien plus que les 1.3 milliards du laboratoire Pfitzer

L'accord ne concernerait que les poursuites pénales et non certaines poursuites civiles fédérales, privées ou émanant de certains Etats.

Le montant record de l'amende pénale dépasse largement les 1.3 milliard de dollars versés en 2009 par le laboratoire pharmaceutique Pfizer pour solder des litiges sur ses pratiques commerciales concernant un anti-inflammatoire.

L'explosion le 20 avril 2010 de Deepwater Horizon, à 80 kilomètres au large de La Nouvelle-Orléans dans le sud des Etats-Unis, avait fait onze morts et répandu des centaines de millions de litres de brut dans le golfe du Mexique jusqu'à la fermeture du puits quatre mois plus tard.

BP a déjà payé près de 8 milliards de dollars

Deux employés de BP PLC sont par ailleurs poursuivis pour homicide involontaire après la mort de onze employés dans l'explosion de la plate-forme de haute-mer Deepwater Horizon, à l'origine de la marée noire, a indiqué une source proche du dossier. Selon elle, BP plaidera coupable d'obstruction pour avoir menti au Congrès américain sur la quantité de pétrole déversée.

BP a déjà conclu un accord à l'amiable avec plus 100.000 pêcheurs, employés de nettoyage et autres victimes à hauteur de 7.8 milliards mais n'avait pour l'instant pas encore réglé ses comptes avec les autorités américaines.

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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 19:06

Ecrit par Jacques

 

Mme Corinne Lepage, Député Européenne écologiste s'en prend de façon virulente à la désinformation sur la recherche et l'exploitation du gaz de schiste.

 

pour en savoir plus :


http://www.come4news.com/gaz-de-schiste-corinne-lepage-tape-fort-123793

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 19:19
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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 19:07

OGM

par Info'OGM

 

 

FRANCE – De droite et de gauche, cinq ex-ministres de l’Ecologie réclament une réévaluation des OGM
par Christophe NOISETTE , 8 novembre 2012

Le 29 octobre dans le journal gratuit 20 minutes, les trois ex-ministres de l’Ecologie, Mesdames Royal (PS), Lepage (ex-Modem) et Voynet (Europe Ecologie - Les Verts) ont demandé une réévaluation complète du maïs génétiquement modifié NK603 et de l’herbicide Roundup. Il s’agit des deux produits de Monsanto que l’équipe de Gilles-Eric Séralini avait étudié pendant deux ans concluant à un doute quant à l’innocuité sur la santé. Dans leur lettre ouverte, les ex-ministres se réjouissent « de la volonté exprimée (...)

 

 

ETATS-UNIS - Les OGMne seront pas étiquetés en Californie
par Christophe NOISETTE, 7 novembre 2012

 

 

 


UE - Demande d’autorisation d’OGM : les analyses de toxicologie sont-elles obligatoires ?
par Eric MEUNIER, 26 octobre 2012

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 18:18

A Villemagne petit village dans l'Aude région Languedoc-Roussillon:

 

Stéphanie élève de bien jolies poules bio ...

 

changement complet pour cette ancienne cadre(assistante de direction à Toulouse), Stéphanie BRIFFARD, déjà maman de deux petites filles, avait envi de changer d'air.

Attirée par la Montagne Noire, elle a décidé de se reconvertir dans l'élevage de poule pondeuses bio.

 Pour commencer la ferme est modeste avec 100 poules pondeuses, mais progressivement

elle arrivera jusqu'à 500 poules.

Elevées en plein air et nourries avec une alimentation bio, Stéphanie vend ses oeufs le samedi matin au marché de Revel et à la ferme de CO de Borios,

aux particuliers (tel: 04 68 23 95 15)

un grand bravo à Stéphanie...

 


 




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1 novembre 2012 4 01 /11 /novembre /2012 12:05
Doux envisage des suppressions de postes

(la France Agricole.fr)  Publié le mercredi 31 octobre 2012

 

Le groupe Doux, en redressement judiciaire, envisage la suppression de 87 postes, a indiqué, mardi, à l'issue d'un comité central d'entreprise, une source syndicale, la direction assurant de son côté que des « mesures de reclassement interne seront proposées ».

 

« Ce sont 87 postes qui seraient supprimés », a annoncé Jean-Luc Guillard, délégué central CFDT, lors d'un entretien téléphonique avec l'AFP, précisant notamment que 39 postes seraient supprimés au siège, à Châteaulin (Finistère), et 30 autres à l'usine Père Dodu de Quimper.

 

Dans un communiqué, le groupe assure, sans préciser le nombre de postes qui seraient supprimés, que « des mesures de reclassement interne seront proposées aux employés des sites industriels concernés par les restructurations ».

 

Le 1er juin 2012, le groupe a été placé en redressement judiciaire avec une période d'observation de six mois. Deux mois plus tard, la justice a liquidé son pôle frais, déficitaire, et, le 10 septembre, elle a validé les offres de reprise partielle de cinq de ses huit sites. Un millier d'emplois ont été détruits.

 

L'ancien poids lourd de la volaille en France et en Europe ne se compose ainsi plus que du pôle export (produits congelés) et du pôle produits élaborés, avec la célèbre marque Père Dodu.

 

« La modernisation des pôles export et élaboré, ainsi que le projet de mise en vente de certaines unités, s'inscrivent dans la logique de la préparation du plan de continuation qui sera présenté avant le printemps de 2013. Le nouveau périmètre permet d'ores et déjà d'afficher une exploitation positive et une autonomie financière », ajoute le communiqué du groupe Doux.

 

Celui-ci envisage de céder quatre sites – Châteaulin, Pluguffan et Kergonan, près de Quimper, ainsi que le laboratoire Transal à La Vraie-Croix (Morbihan) –, a indiqué Jean-Luc Guillard, précisant que cela représentait 74 emplois. « On espère que tous ces sites vont être repris avec tous leurs salariés », a-t-il avancé, se disant cependant « très méfiant ».

 

Le tribunal de commerce de Quimper doit examiner, le 20 novembre 2012, les offres de reprise concernant ces quatre sites. Il étudiera ensuite, le 28 novembre, la situation du groupe afin de décider d'une éventuelle prolongation de la période d'observation.

 

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