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5 novembre 2016 6 05 /11 /novembre /2016 19:10
 Parce qu'il existe une bio à deux vitesses :

 il devient plus que jamais nécessaire de montrer ce qu'est la véritable agriculture biologique.

La bio est devenue un business mondial


Dans le documentaire “La face cachée du bio low cost” diffusé le 23 Octobre dernier sur France 5, une enquête démontre que les produits labellisés bio et vendus à bas prix par les grandes surfaces ne respectent pas l'esprit de la bio :
 

  • main-d’œuvre surexploitée et sous-payée ;
  • légumes cultivés hors saison et dont la production et le transport sont coûteux en termes d'émissions de gaz à effet de serre ;
  • tolérance du E250 (nitrite de sodium) qui donne sa couleur rosée au jambon mais présente un risque pour la santé ;
  • abattage des animaux aussi sordide qu'en conventionnel…etc
     

 

Ces pratiques ne reflètent pas l'esprit d'origine de l'agriculture biologique.

 

La bio, la vraie, c'est le travail avec la nature et non contre elle.
C'est le respect des humains qui travaillent avec cette nature.
C'est aussi le respect des animaux, d'un bout à l'autre de la chaîne.


 

La vraie bio nourrit le vivant

 

L'Institut technique d'agriculture biologique a récemment comparé les impacts de l'agriculture biologique avec ceux de l'agriculture conventionnelle. Dans un rapport à paraître, l'ITAB affirme que «l'on observe en bio un surcroit d'externalités positives, lié à la mobilisation d'un plus grand nombre de processus agro-écologiques».

 

Parce qu'elle respecte le vivant, la vraie bio a donc un impact positif sur les écosystèmes.

Tout l'enjeu est de promouvoir cette bio-là.

 

 

Reconnecter les gens à la nature

Pour manger mieux, encore faut-il savoir ce qu'est une agriculture réellement écologique. C'est-à-dire qui repose sur la nature.

 

Or, comprendre cela n'est pas une évidence.

L'écologie n'est pas enseignée à l'école, et encore moins la philosophie de l'agriculture biologique. Quant à la vie citadine, elle nous déconnecte de la nature.

 

Par ailleurs, avant de se tourner vers des produits meilleurs mais un peu plus chers, et sans revoir complètement son budget, il faut (ré) apprendre à découvrir et à cuisiner les légumes, légumineuses, graines, farines, etc.

 

Il faut apprendre à consommer différemment.


 

Pour 1 euro par mois, vous aidez des familles à renouer avec la terre

 

Adhérer, c'est soutenir la vraie bio

 

Votre adhésion* nous permettra d'éduquer à la bio, la vraie.
En adhérant, vous aidez des gens à savoir ce qu'est l'agriculture biologique, locale, équitable.
Vous aidez des personnes à retrouver un lien avec la terre.
Vous aidez indirectement de petits producteurs et transformateurs bio et locaux à gagner leur vie.
Vous contribuez à la sauvegarde d'une nature qui nourrit et aide l'humanité face aux changements climatiques.

 

Bio Consom'acteurs agit pour :

  • réaliser des outils de sensibilisation et d'éducation à l'alimentation bio, locale et équitable.
  • organiser des ateliers de consommation responsable, repas bio solidaires, projections-débats
  • inciter les élus à introduire du bio local dans leurs cantines scolaires
  • diffuser les résultats de l'étude Bio Nutrinet, à propos des impacts de la consommation biologique sur la santé et l'environnement.


Aidez-nous à promouvoir une alimentation qui respecte la nature et ceux qui travaillent avec elle.

 

C'est uniquement grâce à votre adhésion* que nous pouvons porter la voix de tous ceux qu'on ne voit pas, mais qui nous nourrissent chaque jour.
 

Pour continuer nos actions, nous avons besoin de vous aujourd'hui.

 

Merci pour votre engagement à nos côtés.

 

 

Au nom de Bio Consom'acteurs,

Diana Semaska et Valérie Le Toux

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2 octobre 2016 7 02 /10 /octobre /2016 13:51

PÉTITION - Empêchons les sénateurs de censurer le bio dans les cantines !

Le 05 octobre prochain, les Sénateurs devaient débattre de l’introduction d’un seuil de 20 % d’aliments biologiques en restauration collective d’ici 2020, via un amendement au projet de loi sur l’Égalité et la Citoyenneté.

Le débat et le vote n'auront pas lieu !

Une Commission spéciale, présidée par Jean-Claude Lenoir (LR) et composée des rapporteuses Dominique Estrosi Sassone (LR) et de Françoise Gatel (UDI), a tout bonnement estimé que l’amendement déposé était irrecevable ; ce seuil de 20 % a pourtant été voté à l’Assemblée nationale !

Interpellez le président du Sénat dès maintenant et avant le 05 octobre !

ou signez sur :
http://lebiopourtous.agirpourlenvironnement.org

La bio est pourtant en pleine dynamique...
  • Alors que 21 fermes bio s'installent chaque jour en France (soit 32000 exploitations converties à la bio) ;
  • Alors que 83% des parents d'élèves se déclarent favorables à l'introduction d'aliments issus de l'agriculture biologique en restauration scolaire ;
  • Alors que sur les six premiers mois de l'année 2016, les ventes de produits bio ont progressé de 20% ;
Un coup de force institutionnel !

Un recours a été déposé auprès du président du Sénat afin qu’il revienne sur cette censure qui ne dit pas son nom. Interpellez le président du Sénat dès maintenant et avant le 05 octobre !

ou signer sur :
http://lebiopourtous.agirpourlenvironnement.org

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17 janvier 2016 7 17 /01 /janvier /2016 18:07

C’est par colère que Ludivine Leprêtre est passé en bio. 5 ans après, la jeune éleveuse laitière, de Boulogne-sur-Helpe (59) a retrouvé son amour du métier.

« À cause d’un parcellaire morcelé, avec mon mari Raphaël, on devait aller traire nos vaches chaque jour dans les prés dont on valorisait l’herbe à 100 %. C’était physique ! On a réussi à rassembler les terres, on a emprunté, on s’est agrandi ».

La ferme fait 130 hectares. À l’époque – il y a peu ! – ils étaient très jeunes, et Ludivine Leprêtre, 34 ans aujourd’hui, n’en revient encore pas que les banques aient suivi ! Puis ils ont construit les étables, commencé à cultiver du maïs pour nourrir les bêtes et puis à traiter, pour protéger les cultures. Système intensif. Plus ils produisaient – 730 000 l/an –, moins ils gagnaient. En 2009, la crise du lait les fait toucher le fond.

« Notre métier n’avait plus de sens, on était devenu des esclaves. J’étais en colère contre le système. Un jour, un contrôleur laitier nous a dit : “ Et la bio, y avez-vous pensé ?“. »

En une semaine, ce fut une évidence pour Ludivine.

« Aujourd’hui en bio, notre charge de travail reste énorme. Par exemple, nous, on peut nous voir du printemps à la fin de l’été sur le tracteur à faucher ! »

Dans un sens, puis dans l’autre sur la route !

« Mais j’ai retrouvé ma passion d’adolescente pour les animaux », dit-elle. Parfois, il m’arrive d’aider les collègues sur des questions de santé animale, de donner des conseils pour sortir des antibio ! J’en suis fière ».

Il y a peu, le couple a dû faire face à un incendie : une catastrophe dans laquelle une part des bâtiments et du troupeau est partie en fumée. Tant bien que mal, Raphaël et Ludivine se sont relevés. Bientôt les emprunts devraient être remboursés. Enfin, Ludivine espère bien. Et vous savez quoi ? Le maroilles bio au lait non pasteurisé, le seul en France ? C’est avec le lait de leurs vaches qu’ils vendent à Biolait qu’il est réalisé, à L’Esat, centre d’aide par le travail, de Feron http://www.reseau-gesat.com/Gesat/Nord,59/Feron,22730/esat-ferme-du-pont-de-sains,e1137/… De quoi être fier.

achetons responsable Biocoop

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17 janvier 2016 7 17 /01 /janvier /2016 11:45

Aprés avoir travaillé 14 ans dans la grande distribution, Christophe Roux a créé à Beaune un jardin potager bio afin de proposer à ses consommateurs des produits authentiques ressemblant à de la "vraie nourriture". Nous sommes allés à sa rencontre et avons découvert un personnage passionné.

Cristophe Roux a travaillé 14 ans dans la grande distribution. Voyant ainsi « l’évolution » des fruits et légumes proposés aux consommateurs … « au début nous avions, par exemple, des tomates qui ressemblaient à des tomates et qui avaient le goût des tomates. Progressivement elles ne ressemblaient plus à des tomates mais à des balles de paint ball !!! Et encore … ».


Alors, pour consommer des produits qui soient authentiques, ressemblant à « de la vraie nourriture » et non pas à un amas de molécules plus ou moins savamment accolées, Christophe ROUX décide de franchir le pas et de consommer et vivre de ses cultures Bio. A Beaune ! L’aventure est lancée … accompagné, aujourd’hui, de Thomas MAURICE éleveur et producteur de fromages de chèvres !


Ce n’est ni un travail, ni même un métier. C’est une passion. « Les heures ne comptent pas ». Il faut de l’acharnement, du courage, peu de sommeil, jouer avec les intempéries et garder la fougue et le sourire. Découragement impossible.

Marcher près des serres au cœur de Beaune, prendre le temps de regarder « pousser » puis faire son « marché ». Pour exemple, pour 3 personnes, j’ai pu choisir des poireaux, des carottes, une botte de radis, des échalottes et des kiwis ( pas de Beaune, les kiwis, mais certifiés Bio ! ) pour un budget de 5.50 € !!! Et à partir de mai vous pourrez découvrir des « vraies » tomates, des haricots verts, des petits pois, toujours de délicieuses pommes de terre et salades… et toujours des fruits, venus d’ailleurs, mais encore certifiés Bio. N’oubliez pas votre chèvre frais !!!


Xavier MULLER
Correspondant Echo des communes
Beaune Côte et Sud
06 09 72 56 94

Terres Bio Beaune. 18, Rue du Faubourg Perpreuil. 21200 – BEAUNE. 06.12.96.18.97
Ouverture : mercredi de 17.00 à 19.00. A partir de mi-mai : mercredi de 16.00 à 19.00, samedi de 9.30 à 12.30 et également livraison possible de paniers légumes d’une valeur de 10 €.

Lire →

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17 janvier 2016 7 17 /01 /janvier /2016 11:20

// Loi biodiversité : stoppons la privatisation du vivant !

  • aux brevets sur le vivant, et particulièrement aux brevets sur les gènes issus de plusieurs millénaires de sélections paysannes ;
  • à la suppression de l'étiquetage et du contrôle des OGM brevetés au prétexte que quelques nouvelles techniques de manipulations génétiques des plantes seraient plus précises que les premières transgenèses et ne devraient plus être réglementées ;
  • à la mise en marché de la biodiversité, transformation des forêts, des zones humides, des monts, des landes, des terres agricoles, des animaux sauvages, oiseaux, des abeilles, des pollinisateurs... en vulgaires produits qu'on pourrait acheter, détruire, revendre ou déplacer dans le seul but d'alimenter de nouvelles spéculations financières ;
  • à la généralisation des cultures tolérantes aux herbicides qui génèrent un empoisonnent exponentiel de l'eau, des sols, des animaux et de notre nourriture suite à l'augmentation constante des adventices devenues tolérantes et des doses d'herbicides utilisées pour les combattre ;
  • au massacre des abeilles, des pollinisateurs et des oiseaux qu'ils nourrissent par la généralisation de l'usage des insecticides néonicotinoïdes ;

ou
http://loibiodiversite.agirpourlenvironnement.org

Choux brocolis, tomates ridées, poivrons, laitues, blé, maïs, soja... peu à peu toute notre nourriture passe sous la coupe de 10 société multinationales qui contrôlent déjà 75 % du marché mondial des semences. Si la loi n'arrête pas immédiatement ces brevets, c'est toute la biodiversité agricole créée et renouvelée par des centaines de générations de paysans qui va disparaître et être remplacée par les mêmes plantes développées sur toute la planète par ces nouveaux pirates du vivant.

Vous êtes attachés à l'accès de tous aux semences paysannes reproductibles, aux animaux reproducteurs et aux ressources génétiques libres de droit, au respect des connaissances et des droits des communautés paysannes qui les ont sélectionnées, conservées et renouvelées, aux droits des paysans et des jardiniers d'utiliser, d'échanger et de vendre leurs propres semences et animaux reproducteurs, au respect de toute les valeurs culturelles, sociales, environnementales et sanitaires de la biodiversité qui ne peuvent pas être transformées en marchandises ?

Alors signez et partagez cette pétition afin que les sénateurs et les sénatrices adoptent les amendements proposés par le collectif « Semons la biodiversité ».

ou
http://loibiodiversite.agirpourlenvironnement.org


Ne doutez jamais qu'un petit groupe de gens réfléchis et engagés puisse changer le monde. En fait, c'est toujours comme cela que ça s'est passé.★ - Margaret Mead (1901 - 1978) - Anthropologue.

Stéphen, Martin, Mickaël, Julie, Benjamin, Magali, Mathias et toute l'équipe d'Agir pour l'Environnement.
contact@agirpourlenvironnement.org
--
http://www.agirpourlenvironnement.org
http://www.facebook.com/association.agirpourlenvironnement
http://www.twitter.com/APEnvironnement

// Ensemble pour une planète vivable : donnez.

La contrepartie de bienvenue !

Jusqu'au 29/02/2016, pour tout don ponctuel ⩾ à 25 € ou don mensuel ⩾ à 5€ :

  • Un reçu fiscal vous permettant de déduire de vos impôts 66% du montant de votre don : votre dépense réelle serait alors de 8 € pour un don de 25 € ;
  • + nos campagnes cartes pétitions pendant 1 an ;
  • + Le BADGE "J'aime la bio"
  • + L'AUTOCOLLANT "J'aime la bio"
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30 décembre 2015 3 30 /12 /décembre /2015 13:10

La Beauce ne connaît que la grande culture intensive ? Benjamin, Adrien et Hélène prennent un tout autre chemin. Ils convertissent leur exploitation en bio, plantent des arbres, font de la recherche participative, changent leurs céréales en pain. Bref, inventent un nouveau destin pour la plaine.

Benjamin est boulanger au levain autodidacte. Adrien est ingénieur agricole passionné de semis direct, d’agroforesterie en systèmes de cultures biologiques. Quant à Hélène, hier infirmière, elle ne peut plus aujourd’hui se passer du levain. Découvrez le trio…

VOIR SON PORTRAIT

Adrien et Benjamin Pelletier sont deux frères paysans-meuniers-boulangers, rejoints depuis peu par Hélène Simon, spécialiste du pain au levain. Leur crédo ? Faire un travail de qualité de la semence jusqu’à la miche. Leurs outils ? Une rotation culturale agro-écologique, un moulin à la meule de pierre, un four à biomasse, un savoir-faire traditionnel.

Leur ferme se situe au Nord de la Beauce. « On dit que c’est le grenier de la France mais la majeure partie de la production part au bout du monde, » constatent-ils. Sur leur ferme, ils entendent relocaliser la production en travaillant sur la sélection de blés paysans biologiques adaptés à leur terroir. Mais ce n’est pas tout. Grâce à Fermes d’avenir, ils vont tester l’agroforesterie et faire pousser dans leurs champs merisier, cormier, alisier, poirier et noyer pour construire une agriculture écologique plus performante.

la suite :

La Beauce version bio - BlueBees

n'oubliez pas de cliquer sur tous les projets tout en haut à gauche

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12 décembre 2015 6 12 /12 /décembre /2015 18:20

Chers amis,

Cultivons notre forêt-jardin.

Le contexte actuel est mouvementé. Changement climatique, montée des fascismes de tout bord, pollutions, économie en berne et autres crises font quotidiennement la une des médias, créant une atmosphère anxiogène parfois difficile à surmonter. Heureusement, bien que moins visibles parce que moins médiatisées, les solutions existent. Encore faut-il cultiver l'espoir. L'espoir, c'est cette forêt-jardin faite de confiance en soi et dans les autres. Elle naît de la diversité.


La bio est une ouverture aux autres.

Parce que « bio » veut dire vie et que la vie est diversité, l'agriculture biologique au sens où nous l'entendons est une forme d'agriculture qui reconnaît une place à chacun. Qu'il s'agisse du puceron, mangé par la coccinelle, de la mouche syrphe qui pollinise les fleurs, de la maladie qui peut affaiblir temporairement un individu - mais à terme le renforcer, ou encore de l'être humain, qui prélève ce qui le nourrit. La bio, c'est donc la diversité des plantes et des animaux, domestiques comme sauvages. Mais aussi la diversité des techniques agricoles, la diversité des modes de distribution. Ou encore la diversité des consommateurs, qu'ils soient d'ici ou d'ailleurs.


--> J'adhère à la bio

L'agriculture biologique, qui n'utilise ni engrais ni pesticides de synthèse et qui prône une vision globale et respectueuse de l'écosystème dans lequel elle s'inscrit, a besoin de soutien pour pouvoir se développer en France. C'est une agriculture moderne, porteuse d'espoir pour l'humanité, au même titre que les énergies renouvelables ou les monnaies locales.


--> Protégez-vous des pesticides

Adhérer à la bio, c'est aider Bio Consom'acteurs à sensibiliser le grand public à des modes de consommation soutenable et à promouvoir l'agriculture biologique, afin de protéger la nature, humaine comprise. C'est contribuer, à son échelle de consommateur, à la lutte contre le défaitisme, à la lutte pour l'espoir.

Merci pour votre soutien !


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5 décembre 2015 6 05 /12 /décembre /2015 19:07

Terre de liens

Future farmers in the spotlight (Futurs fermiers sous les projecteurs) est une initiative visant à faire connaître les itinéraires, les difficultés, les réalisations, et les rêves de jeunes européens qui ont fait le choix de démarrer une activité agro-écologique. Une douzaine de courtes vidéos (en anglais) présentent ainsi les parcours et les perspectives de jeunes agriculteurs en Irlande, en Allemagne, en Grèce, en Norvège, aux Pays-Bas ou en Espagne.

La France y figure, à travers Anne et Rémi, fermiers à La Brigue, une ferme Terre de Liens dans les Alpes Maritimes. L’occasion pour eux de partager leur bonheur d’avoir suivi des chemins de traverse pour vivre un quotidien d’agriculteur au contact de la nature et de souligner le rôle clé de Terre de Liens dans leur installation.

Coups de projecteur sur des jeunes fermiers européens ...
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15 novembre 2015 7 15 /11 /novembre /2015 08:34

La COP21 approche à grands pas. L'agriculture en France est le premier émetteur de gaz à effet de serre. Pour faire votre part, adhérez à la bio!

Chers amis,

Nous mangeons du gaz et du pétrole.
Notre alimentation contribue au changement climatique. En effet, à l'exception des surfaces cultivées en bio, l'agriculture consomme des engrais et pesticides de synthèse qui nécessitent de l'énergie fossile pour leur production. Ces émissions s'ajoutent à celles, importantes, dues à l'ultramécanisation, à l'élevage, au transport, à l'emballage des denrées, etc. En France, l'agriculture est même la première émettrice de gaz à effet de serre...devant le secteur industriel!

Cercle vicieux
Réciproquement, le changement climatique a un impact sur notre agriculture. Les agriculteurs doivent faire face à de plus en plus d'événements climatiques extrêmes, comme les sécheresses ou les inondations. Mais les plantes utilisées en conventionnel s'adaptent mal aux variations de l'environnement. Elles dépendent de l'utilisation de toujours plus d'engrais et de pesticides...

Pesticides, changement climatique : même combat
Or, le changement climatique a des effets sur notre santé. Au-delà de 2 degrés, cet impact sera si grand qu'il pourrait remettre en cause 50 années d'avancées en matière de développement et de santé publique. Maladies infectieuses, malnutrition, stress, cancers, maladies respiratoires seront d'autant plus communes qu'il fera en moyenne plus chaud sur Terre.

--> Adhérez à la bio
A l'occasion de la COP 21, adhérez à la bio. L'agriculture biologique, qui n'utilise ni engrais ni pesticides de synthèse, est un outil indispensable pour atténuer le changement climatique et pour s'y adapter.


--> Protégez-vous des pesticides
Aidez Bio Consom'acteurs à sensibiliser et à promouvoir l'agriculture biologique, afin de protéger l'environnement et la santé humaine*. Vous contribuez ainsi, à votre échelle de consommateur, à la lutte contre le changement climatique.

www.bioconsomacteurs.org

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17 octobre 2015 6 17 /10 /octobre /2015 10:01
Bio Consom'acteurs

La France est le premier pays consommateur de pesticides en Europe. Ils sont parmi les causes les plus importantes de l'émergence de maladies chroniques graves. Pour protéger le vivant, protégez-vous des pesticides. Adhérez à la bio!

La France est le premier pays consommateur de pesticides parmi les 28 pays de l’Union européenne.

45% des aliments consommés en Europe contiennent des résidus de pesticides.


Pesticides et maladies
Cancers, irritations de la peau et des poumons, perturbations du système hormonal, maladies neurodégénératives, réduction du nombre de spermatozoides… : les pesticides ont leur responsabilité dans l’émergence des maladies chroniques. Quant à l’effet cocktail des pesticides avec d'autres substances, il commence à peine à faire l’objet d’études, qui démontrent déjà leurs impacts négatifs sur la santé humaine.

Protégez-vous et adhérez au bio
Les pesticides sont intrinsèquement liés à l’agriculture conventionnelle. On trouve d’ailleurs des résidus de pesticides dans l’alimentation conventionnelle quatre fois plus souvent que dans les aliments biologiques. Et quand on en trouve dans les aliments bio, c’est à des concentrations 50 à 100 fois plus faibles que dans les aliments non-bio !

Manger bio est la manière la plus efficace de réduire notre exposition aux pesticides de notre alimentation.





Adhérez à la bio :

suive
r : La France est le premier pays consommateur de pesticides en Europe. Ils sont parmi les causes les plus importantes de l'émergence de maladies chroniques graves. Pour protéger le vivant, protégez-vous des pesticides. Adhérez à la bio!

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  • : Le blog de Bien Vivre à la Campagne et pour cette année le 8 juillet La Fête du Lac de Marcenay
  • : Proposer à nos amis des informations et des réflexions sur l’environnement, notre patrimoine, des adresses sur les bons produits de notre région, la Bourgogne …
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