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2 octobre 2016 7 02 /10 /octobre /2016 13:53

L’écologie au pouvoir ! Cela fait sourire...

Notre époque préfère les faits divers et l’écologie politique est au plus bas. Pourtant « L'écologie au pouvoir » me paraît une évidence, une nécessité incontournable..
La mer monte et les ressources s'épuisent, nous sommes tous concernés.

Mon premier vote a été pour René Dumont, en 1974. Il disait vrai, même l'eau viendrait à manquer. « L'écologie à l'épreuve du pouvoir » relate toute les difficultés de la prise de conscience, mais aussi toutes les raisons d'espérer. Les programmes qui tiennent compte de l'urgence écologique existent, ils proposent une vision à long terme qui reste étrangement absente des promesses électorales actuelles.

Mon livre est disponible sur Internet mais à acheter de préférence chez votre libraire... de proximité (370 pages pour 19 euros aux éditions Sang de la Terre).

Sommaire détaillé sur mon blog BIOSPHERE

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2 octobre 2016 7 02 /10 /octobre /2016 13:43

À SIGNER » Les braconniers tuent les éléphants pour leur peau et leur ivoire : Stoppons-les !

Chers ami(e)s de la forêt tropicale,

Les éléphants luttent pour leur survie. Massacrés pour leur ivoire en Afrique, ils sont dorénavant aussi chassés et mutilés pour leur peau en Asie. Des mesures plus protectrices doivent être prises immédiatement.

29 états africains travaillent ainsi à une interdiction totale et globale du commerce de l’ivoire. Perçue comme la seule capable d’enrayer le braconnage, cette mesure est soutenue par les États-unis et la Chine, les plus grands importateurs d’ivoire.

Mais pas l’Union européenne. Les écologistes du monde entier sont consternés !

Demandons aux dirigeants européens de soutenir l’interdiction totale du commerce de l’ivoire. L’UE n’a pas le droit de se rendre complice des braconniers :

En vous remerciant pour votre attention,

Sylvain Harmat
Sauvons la forêt www.sauvonslaforet.org

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24 septembre 2016 6 24 /09 /septembre /2016 14:01

ENQUÊTE - Êtes-vous déjà en transition ?

Des exemples de transitions fleurissent aux quatre coins du territoire sur :

  • une alimentation bio et locale,
  • des énergies renouvelables,
  • une finance solidaire,
  • un foncier agricole que des centaines de citoyens se réapproprient…

Ces initiatives écologiques qui naissent, prospèrent et se disséminent par centaines... sont autant d’exemples démontrant qu’un autre monde est possible.

En cette journée de la transition, Agir pour l'Environnement a décidé d’en promouvoir cinq, tout en ayant conscience qu’elles ne représentent qu’une toute petite partie de ce qui existe localement. Dans les mois à venir, nous aurons l’occasion d’en promouvoir de nouvelles et ainsi contribuer modestement à la propagation du monde de demain.

ou participez ici :
https://fr.surveymonkey.com/r/enquete-transition

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14 février 2016 7 14 /02 /février /2016 11:16

«Les Cartels du lait»: Le Foll, ministre sous influence

PAR LA RÉDACTION DE MEDIAPART

En juillet dernier, le ministre de l’agriculture a cédé au lobby agroalimentaire en faisant pression sur sa collègue de la santé Marisol Touraine contre le projet d’étiquetage nutritionnel préconisé par ses services. Un livre Les Cartels du lait dévoile les courriers et les notes internes des lobbyistes de l’industrie. Lire la suite

Qui a donc tenu la main du ministre de l’agriculture Stéphane Le Foll ? Un membre de son cabinet ? Un directeur de l’administration centrale chargé de l’agroalimentaire ? Ou encore quelqu’un d’autre ? Le 8 juillet 2015, Stéphane Le Foll décide de s’opposer par écrit au projet d’étiquetage nutritionnel que sa collègue et ministre de la santé Marisol Touraine défend depuis plus d’un an. Une étiquette faite d’une gamme de cinq couleurs, qui pourrait classer en rouge les produits à plus faible valeur nutritionnelle. Stéphane Le Foll, qui n’a aucune responsabilité ni compétence en matière de santé publique, rejoint ainsi la stratégie d’une puissante organisation professionnelle qui s’oppose pied à pied aux projets de prévention nutritionnelle de la ministre de la santé : l’Ania (Association nationale des industries alimentaires).

Basée boulevard Malesherbes à Paris, l’Ania réunit les patrons des plus importants groupes laitiers de l’Hexagone : Antoine Fiévet, PDG du groupe Bel, Olivier Delamea, directeur général de Danone produits frais, Michel Nalet, directeur des relations extérieures du groupe Lactalis, Jean-Paul Torris, directeur général délégué de Savencia (ex-Bongrain), Richard Girardot, PDG de Nestlé France, et Frédéric Rostand, directeur général du géant coopératif Sodiaal. De 2004 à 2013, l’Ania a eu à sa tête l’ancien DGRH de Danone, Jean-René Buisson, connu comme le « porte-flingue » de la famille Riboud. Chargé de la fermeture des usines du groupe – Kanterbräu, Kronenbourg, Lu… – ce dirigeant musclé se souvenait d’avoir appris « à mener une compagnie de CRS au talkie-walkie », tandis que des salariés écrasaient symboliquement des buissons avec des camions devant les usines. En 2013, Buisson a été remplacé par un patron de PME, fabricant d’ingrédients pour la meunerie et la boulangerie, Jean-Philippe Girard. Mais la ligne de l’Ania est restée la même : inflexible.

Dans une synthèse du mois de septembre, l’Ania se fixe plusieurs objectifs : « Pas d’interdiction de la publicité enfants. Pas d’interdiction des promotions. Pas d’élargissement de l’interdiction des distributeurs automatiques (hôpitaux, administrations…). »

L’Ania se mobilise aussi pour influencer le Programme national de prévention nutrition santé (PNNS), en vue de « faire passer » leurs « positions aux administrations concernées » et « aux membres du comité de pilotage du PNNS » pour « obtenir des nouveaux repères et messages sanitaires non stigmatisants ».

Le sujet qui fâche l’industrie reste le projet d’étiquetage nutritionnel qui va découler de la loi sur la modernisation du système de santé défendue par Marisol Touraine. L’article 5 du projet de loi vise à créer une « déclaration nutritionnelle obligatoire »,« accompagnée d’une présentation », « au moyen de graphiques ou symboles sur la face avant des emballages » pour faciliter « l’information du consommateur et l’aider à choisir en toute connaissance de cause » – conformément au règlement européen UE 1169/2011 (règlement Inco) concernant l’information du consommateur sur les denrées alimentaires. Or, jusqu’à aujourd’hui la ministre de la santé retient la préconisation du professeur Serge Hercberg, épidémiologiste de la nutrition, et coordinateur, depuis 2001, des programmes de prévention nutritionnelle, qui propose d’installer un code à cinq couleurs, dit 5-C, en classant, par des pastilles allant du vert au rouge, les produits alimentaires selon leur qualité nutritionnelle – définie par une formule et un calcul établissant un score. Mais elle s’inscrit aussi dans un processus réglementaire européen qui rend obligatoire, d’ici au 13 décembre 2016, l’étiquetage nutritionnel uniformisé sur les denrées alimentaires – sans toutefois imposer de simplification ou d’orientation nutritionnelle.

Cette proposition du système 5-C en France a été présentée, fin 2013, par le professeur Hercberg, dans son rapport à la ministre de la santé sur les mesures de prévention nutritionnelle à mettre en œuvre dans le cadre du futur programme national de prévention santé (PNNS). Ce classement à cinq couleurs repose sur le calcul d’un score de qualité, élaboré par la Food Standards Agency – l’autorité de sécurité alimentaire du Royaume-Uni – qui prend en compte pour 100 grammes de produit les éléments favorables (protéines, fibres, pourcentage de fruits, légumes, légumineuses et fruits oléagineux) et défavorables (calories, sucres simples, acides gras saturés, sodium) pour définir un indicateur unique de la qualité nutritionnelle de l’aliment.

« C’est une mécanique anglaise, basé sur un algorithme très compliqué, qui présente l’intérêt de pondérer tous ces nutriments en plus et en moins, explique Olivier Andrault, chargé de mission alimentation à l’UFC Que Choisir. C’est un back-office, un moteur qui a fait ses preuves sur lequel Serge Hercberg a mis une carrosserie neuve qui le rend plus simple : les cinq couleurs. On a une seule information colorée, qui peut prendre cinq couleurs différentes. Cela marche très bien. On l’a testé en février. On voit tout de suite en un coup d’œil la qualité nutritionnelle de ces produits ; et c’est probablement ce qui contrarie l’industrie agroalimentaire. »

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14 février 2016 7 14 /02 /février /2016 10:43

notre-planete.info

la réserve naturelle du Marais d'Yves (Charente-Maritime)

Comme chaque année, début février est l'occasion de (re)découvrir l'intérêt écologique des zones humides, via la célèbre journée mondiale des zones humides qui a lieu le 2 février 2016. L'occasion de nous entretenir avec une gestionnaire de la réserve naturelle du Marais d'Yves en Charente-Maritime.

Les moyens d'existence dépendant de la pêche, de la riziculture, des voyages et du tourisme, ainsi que l'approvisionnement en eau : tout cela dépend des zones humides. En outre elles abritent des formes de vie extrêmement diverses, protègent nos littoraux, agissent comme des éponges naturelles pour absorber les crues des rivières et stockent le dioxyde de carbone pour réguler les changements climatiques.

Malheureusement, les zones humides sont souvent considérées comme des espaces perdus et plus de 64% d'entre elles ont disparu depuis 1900.

A l'occasion de la journée mondiale des zones humides, célébrée dans le monde entier le 2 février 2016, nous avons rencontré Karine Vennel, animatrice et technicienne sur la réserve naturelle du Marais d'Yves en Charente-Maritime.

la suite sur :

Journée mondiale des zones humides : la réserve naturelle du Marais d'Yves (Charente-Maritime)

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17 janvier 2016 7 17 /01 /janvier /2016 17:56

Frédéric Lenoir


LE DÉFI DE L’HUMANITÉ

Propos recueillis par Véronique Bourfe-Rivière

Notre monde en crise cherche une nouvelle voie. Nous voudrions bien sauver la planète mais sans renoncer à notre confort… Nous hésitons, nous tâtonnons, nous rechignons. Changer, d’accord, mais comment ? Frédéric Lenoir nous parle de son engagement pour l’écologie et propose son regard de philosophie, de sociologue et d’historien sur cette période si particulière pour les habitants de la planète terre.

L’écologie, c’est important pour vous ?

Oui et depuis au moins 25 ans ! J’ai même participé à la création d’une association, Environnement sans frontières, au début des années 1990. C’était un réseau d’intellectuels pour faire pression sur les politiques et les instances internationales afin de les alerter sur l’importance de l’écologie. À l’époque, les politiques n’avaient pas conscience du problème, c’était très secondaire pour eux. Je suis heureux de constater que la prise de conscience a enflé. J’ai aussi écrit Mal de terre, un livre d’entretiens avec Hubert Reeves, en 2003.

Cet engagement est-il naturel ou y a-t-il eu un déclic ?

J’ai toujours eu une très forte sensibilité à la nature et aux animaux. Randonnant régulièrement dans les Hautes-Alpes, j’ai constaté de mes propres yeux le recul des glaciers, la raréfaction des papillons. Cela m’émeut profondément. Ce sont ces choses concrètes qui m’ont heurté dans ma sensibilité. Dès que j’ai commencé à être informé, j’ai essayé d’agir. Pour moi, l’écologie est le principal défi pour l’humanité.

Vous prenez souvent fait et cause pour le bien-être animal, êtes-vous végétarien ?

Je tends vers le végétarisme, mais non, je ne suis pas végétarien. Disons que je ne mange pas de viande quand je ne sais pas d’où elle vient, dans quelles conditions l’animal a été élevé. Donc j’en mange environ une fois par semaine et jamais issue de la filière industrielle. Je refuse toute souffrance animale, mais l’homme est omnivore. Contrairement à ce que les gens pensent, en Asie les bouddhistes mangent de la viande, même le dalaï-lama ! Je trouve très bien de devenir végétarien mais cela suppose une profonde rééducation de nos habitudes alimentaires, qui doit être progressive et ajustée au cas par cas, et en tout cas jamais imposée. Pour moi le végétarisme n’est pas la seule voie éthique. J’ai déjà été pris à parti très violemment par des vegans pour avoir dit cela lors de débats ou conférences…

Voyez-vous un lien entre écologie et spiritualité ?

La spiritualité incite l’être humain à s’accorder au monde dans lequel il vit, à être en harmonie avec son environnement. Il est important de bien distinguer religion et spiritualité. Par exemple, les sacrifices d’animaux, ce n’est pas de la spiritualité mais de la religion. Ne pas étourdir les animaux et les tuer vivants, comme on le fait pour la viande halal ou casher, est selon moi une interprétation trop à la lettre des livres sacrés qui disent qu’il ne faut pas manger d’animaux morts. On fait alors souffrir les animaux inutilement.

Au niveau politique, que faudrait-il faire pour que les choses évoluent plus vite ?

Ne plus regarder à court terme, ne pas chercher la rentabilité immédiate. Notre modèle est en train de s’effondrer, même au plan économique. Nous ne voulons pas en voir les conséquences désastreuses. Le plein emploi lié à la croissance industrielle, c’est totalement fictif. Mais notre vieux schéma n’a pas encore disparu de la tête de nos politiques et le consumérisme est encore l’idéologie moteur.

Pourquoi une telle résistance au changement ?

D’abord par égoïsme du court terme : après moi le déluge… Changer nos modes de vie est difficile. Et puis il y a les temps de la politique : nos élus visent la réélection, donc au lieu de prendre des décisions courageuses et nécessaires, ils flattent les individus dans leur égoïsme. C’est un cercle vicieux de notre démocratie. Le bien commun impliquerait des efforts que peu de gens seraient prêts à faire. Regardez la réforme sur la taxe écologique. On a cédé tout de suite !

Comment faire cette mutation ?

Je crois hélas qu’il faudra une grosse catastrophe pour que les choses changent radicalement. Car 80 % des gens n’ont pas envie de modifier leur mode de vie actuel. En agriculture, cela fait 30 ans que nous poussons les agriculteurs à faire de l’élevage intensif, pour baisser les coûts. Mais nous voyons aujourd’hui qu’il y a toujours moins cher ailleurs. La seule solution est de sortir de cette logique. Mais nous ne voulons pas reconnaître que nous nous sommes trompés.

Vivons-nous un énième changement de civilisation ?

À chaque fois qu’il y a une grande crise de civilisation, comme la chute de l’Empire romain ou à la Renaissance, nous avons l’impression d’être dans le chaos. C’est aussi ce que nous vivons aujourd’hui. Mais nous sommes à l’époque de la globalisation du monde, ce qui est nouveau. Il n’y avait encore jamais eu de village planétaire ! Quand l’Empire romain s’est effondré, cela n’a eu aucun effet en Chine. Alors que désormais tout est interconnecté, et cela nous fragilise tous à l’extrême. Le réchauffement planétaire d’aujourd’hui n’est pas classique, il est totalement lié à l’activité humaine, et ça c’est vraiment nouveau.

Êtes-vous optimiste ?

Je suis réaliste. Les humains ne changeront pas de façon importante tant qu’il n’y aura pas de catastrophes à répétition. Malheureusement, nous n’en avons pas encore eu assez pour que les gens décident vraiment de prendre des mesures. Il faut sortir de la fuite en avant. Il n’y a peut-être pas de solutions technologiques à la crise écologique, je crois plus à la modération.

Sauver la planète supposerait de revenir en arrière ?

Je dirais plutôt qu’il va nous falloir produire différemment, consommer autrement, redistribuer complètement les cartes de la vie sociale et professionnelle, changer de métiers, reconvertir l’économie, revenir vers des idées de consommation locale. Et accepter qu’il vaut mieux acheter ses pommes à 1 km plutôt qu’à 1 000, même s’il faut les payer un peu plus cher.

Pourquoi les préoccupations environnementales sont-elles si lentes à gagner du terrain ?

Parce qu’elles sont très déstabilisantes ! Mais si on ne change pas de nous-mêmes et maintenant notre façon de vivre, on sera obligés de le faire plus tard et ce sera beaucoup plus dur. Regardez le problème des migrants, c’est déjà très compliqué à gérer, eh bien si on ne fait rien contre le changement climatique, on devra accueillir de plus en plus de réfugiés, ce sera bien pire ! En essayant de réduire le réchauffement climatique, on évite des catastrophes économiques et humaines.

Un des freins principaux généralement mis en avant, c’est le prix des produits écologiques. Qu’en pensez-vous ?

La question se résout d’elle-même quand on regarde à moyen ou long terme. Oui à court terme, c’est plus cher, mais à moyen et long terme, c’est moins cher. C’est comme ça quand on rénove sa maison avec des produits écologiques par exemple. Au niveau alimentaire, c’est pareil : je mange bio, mais mon budget alimentaire n’a pas évolué, parce que je mange moins de viande, j’ai changé mes habitudes. Il faut une forte motivation personnelle, et éduquer les gens, montrer l’exemple, pour que nos enfants ne prennent pas nos mauvaises habitudes. C’est un gros travail tout à fait indispensable.

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30 décembre 2015 3 30 /12 /décembre /2015 11:35

En 2016, pour une planète vivable, JE VŒUX...


Cher-es ami-es,

Parce que nous avons hâte que cette année 2015 se termine, nous vous adressons dès aujourd'hui nos meilleurs vœux pour l'année 2016.

Malgré une conférence climatique qui a entretenu l'espoir de vivre un sursaut de la communauté internationale, force est de constater que nos responsables demeurent très loin de mesurer l'effort à consentir pour limiter les risques d'un chaos climatique à venir.

Si vous aussi, vous rêvez d'une planète :

  • qui ne serait plus en guerre contre le vivant,
  • qui stimulerait l'agriculture biologique, les énergies renouvelables, la sobriété,
  • qui réduirait à la source la quantité de déchets dispersés dans l'environnement,
  • qui n'investirait plus dans des projets inutiles mais soutiendrait la transition écologique,
  • où l'éducation à l'environnement et la fraternité prendraient le pas sur la violence, le cynisme et l'égoïsme...

Ne doutez jamais qu'un petit groupe de gens réfléchis et engagés puisse changer le monde. En fait, c'est toujours comme cela que ça s'est passé.★ - Margaret Mead (1901 - 1978) - Anthropologue.

Stéphen, Martin, Mickaël, Julie, Benjamin, Magali et toute l'équipe d'Agir pour l'Environnement.
contact@agirpourlenvironnement.org
--
http://www.agirpourlenvironnement.org
http://www.facebook.com/association.agirpourlenvironnement
http://www.twitter.com/APEnvironnement

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26 décembre 2015 6 26 /12 /décembre /2015 19:18

Les marchés aux oiseaux d’Indonésie sont une vision même de l’horreur : des milliers d’animaux entassés dans des cages exiguës attendent d’être vendus aux visiteurs pour devenir animal de compagnie ou symbole de statut social.

Le commerce des oiseaux a pris des proportions dramatiques dans le pays d’Asie. Il touche même les espèces protégées et fait craindre aux ornithologues la disparition de certaines d’entre elles. La capture des oiseaux cause de graves dommages à la nature car ceux-ci sont indispensables à la reproduction des arbres.

Une interdiction de la chasse et du commerce d’oiseaux rares existe en Indonésie. Mais elle n’est pas appliquée de manière efficace. La ministre de l’environnement Siti Nurbaya déplore d’ailleurs les sanctions trop légères encourues par les trafiquants.

Écrivons aux autorités indonésiennes: les oiseaux doivent être laissés en liberté !

Lire la lettre d'information dans votre navigateur

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1 novembre 2015 7 01 /11 /novembre /2015 12:12

by Christophe G

Comment fertiliser gratuitement et efficacement son jardin avec la technique du « pisser dans l’arrosoir ». Une manière également de ré-importer sur site une partie de la matière organique exportée ; une technique à la portée de tous, même si le genre féminin se positionne dès le départ avec un handicap …

La technique du pisser dans l’arrosoir ( 1 )

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1 novembre 2015 7 01 /11 /novembre /2015 12:05

by Christophe Gatineau

Non, enfin le sol n’est pas plus vivant qu’un océan ou l’atmosphère et cette image s’est développée en réaction au syndrome de la table rase. Mais aujourd’hui, elle produit de la confusion comme le non-labour ; deux concepts qui se nourrissent des absurdités d’un passé récent.

Une voiture est-elle vivante quand elle est pleine d’occupants vivants ? Non. Pour les sols, c’est pareil ; le sol n’est qu’un contenant. Un autre exemple : à force de simplifier l’information et de la raccourcir, on dit que les légumineuses ( fabaceae ) captent l’azote de l’air ; et maintenant beaucoup le croient…

la suite : La mort annoncée du sol vivant !

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  • : Le blog de Bien Vivre à la Campagne et pour cette année le 8 juillet La Fête du Lac de Marcenay
  • : Proposer à nos amis des informations et des réflexions sur l’environnement, notre patrimoine, des adresses sur les bons produits de notre région, la Bourgogne …
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