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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 18:25

OGM

Si les chats ne nous veulent en fait aucun mal, ce n’est peut être pas le cas des OGM

que nous consommons :

Les OGM sont des Organismes Génétiquement Modifiés.

Ils sont conçus pour résister à une grande quantité de pesticides et/

ou en produire eux-mêmes.

 

suivez ce lien :

 

 http://generationscobayes.org/?wp_email_confirm=1&wp_email_capture_passkey=d24e5e14dd3a7bec3018701578e78992

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3 février 2013 7 03 /02 /février /2013 11:28

OGM

La mention "sans OGM" boudée par la grande distribution

 

Le Monde.fr

 

 

Un an jour pour jour après la publication du décret autorisant la mention "Nourri sans OGM" sur les produits d'origine animale, entré en vigueur le 1er juillet, une enquête menée par l'association UFC-Que choisir démontre que ce nouvel étiquetage se fait très rare dans les grandes surfaces.

L'association de consommateurs UFC-Que choisir a dénoncé, jeudi 31 janvier,

la trop faible présence dans les rayonnages des grandes surfaces de produits

d'origine animale portant la mention "Nourri sans OGM", malgré la forte demande

des consommateurs. La grande distribution, épinglée par l'association UFC-Que choisir pour bouder l'étiquetage "sans OGM" entré en vigueur l'été dernier, fait valoir des arguments techniques pour se justifier.

Selon son enquête dans 324 grandes surfaces, seules deux enseignes, Carrefour et Auchan, ont fait cet effort pour leurs produits de marques distributeurs, proposant

tous deux "une véritable gamme de produits sans OGM".  Les autres "font quasiment l'impasse", souligne l'association, qui note également que la mention "sans OGM" 

ne porte que sur la volaille et les œufs, le porc, le poisson et parfois le veau.

 LES FILIÈRES D'ALIMENTATION SANS OGM MENACÉES

"Est-ce qu'ils sont en train de faire des tests ou est-ce que cela ne les intéresse pas ?", s'interroge Olivier Andrault, chargé de missions au sein d'UFC-Que Choisir et responsable de l'enquête. "Il faut que les filières et les distributeurs se réveillent pour répondre à la demande des consommateurs", estime-t-il en réclamant "une nécessaire prise de conscience pour maintenir la diversité de choix". Car, insiste M. Andrault, les filières d'alimentation sans OGM sont "menacées". 

"Alors que la réglementation européenne imposait aux Etats membres de signaler les produits contenant des OGM, elle laissait à leur discrétion la possibilité de signaler

les produits 'sans'", rappelle Anaïs Fourest, responsable du dossier OGM à Greenpeace France.

Globalement, il reste difficile pour le consommateur de savoirtrouver ces produits dans 86 % des magasins, faute de signalétique suffisante, note l'étude. Cela est  

"d'autant plus regrettable" que l'UFC ne relève pas de différence de prix avec les produits conventionnels, selon un relevé effectué entre les 14 et 18 janvier sur le site Internet de 1 653 magasins "drive" de la grande distribution.

 

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9 décembre 2012 7 09 /12 /décembre /2012 14:55
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24 novembre 2012 6 24 /11 /novembre /2012 17:48

OGM

les ex ministres de l'Ecologie plaident pour Séralini

Le 27 novembre, Lepage, Voynet , Jouanno, Royal et Koziusko-Morizet

soutiendront publiquement l'auteur de l'étude sur la toxicité du maïs OGM.

Mardi 27 Novembre, à 17h30, au Marché des Enfants-Rouge, dans le Marais à Paris,

cinq anciennes ministres de l’Ecologie Corinne Lepage, Dominique Voynet , Chantal Jouanno, Ségolène Royal et Nathalie Koziusko-Morizet viendront soutenir

la démarche du chercheur en biologie moléculaire Gilles-Eric Seralini et exiger

une refonte de l’évaluation des plantes agricoles génétiquement modifiées.

Il y a un mois, Ségolène Royal, Dominique Voynet et Corinne Lepage sont déjà

montées au créneau pour réclamer, dans une tribune parue dans le journal "20 minutes", une révision des autorisations de mise sur le marché du maïs Monsanto K603 et

du Round Up. Cette mobilisation des anciennes ministres fait suite à la polémique née de l'étude du professeur Séralini.   

Dans ce texte, elles déclaraient se réjouir "de la volonté exprimée par

le gouvernement (...) de remettre à plat les systèmes d'évaluation des OGM et des pesticides" après la polémique née de l'étude du professeur Gilles-Eric Séralini. 

"En attendant que soient réalisées les nouvelles études et afin de s'assurer de la protection de la santé humaine, en l'absence de mesure de suspension du NK603 et

du Round Up, nous demandons que soient revues, comme le permettent les textes communautaires et nationaux, les études qui ont permis (leur) autorisation de mise

sur le marché", écrivaient-elles.


Guillaume Malaurie

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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 20:00

OGM

OGM et sécurité alimentaire : oui à plus de transparence et d'indépendance !

Bruxelles, le 15 novembre 2012,

L'étude du biologiste Gilles-Eric Séralini (Université de Caen), menée durant

deux ans sur des rats nourris avec des aliments contenant du maïs génétiquement

modifié (variété NK603), avec et sans l'herbicide Roundup, ainsi qu'avec du Roundup seul, et dont les résultats ont été publiés le 19 septembre dans la revue Food and Chemical Toxicology, a relancé le débat sur les possibles risques liés à la consommation d'Organismes génétiquement modifiés (OGM) et sur la fiabilité des études de

toxicologie à 90 jours, jusqu'ici utilisées pour justifier leur autorisation.

Conscients des craintes sanitaires que les OGM suscitent chez les Européens, nous, députés européens, demandons :

  1. La transparence sur les études d'évaluations des risques sur la santé et l'environnement ayant conduit à l'autorisation des pesticides et à la culture
  2. et/ou l'importation des OGM dans l'Union européenne. Nous exigeons la communication des données brutes de ces études sur un site public en ligne
  3. et sous une forme exploitable statistiquement;
  4. Que soient engagés des travaux indépendants et contradictoires sur les effets à long terme (deux ans et plus) de la consommation d'OGM associés ou non à des pesticides;
  5. Que l'Efsa et la Commission européenne revoient les lignes directrices sur l'évaluation des OGM pour y inclure les impacts potentiels des OGM à long terme, directs ou indirects, sur l'environnement et la santé, conformément aux exigences
  6. de la directive 2001/18/CE sur la dissémination volontaire d'OGM dans l'environnement, qui n'est malheureusement pas respectée, comme l'ont rappelé
  7.  les conclusions du Conseil des ministres de l'Environnement du 4 décembre 2008;
  8. Qu'un fonds permettant le financement d'études contradictoires et indépendantes soit créé et géré par l'Union européenne mais abondé par les industriels
  9.  (car ce n'est pas aux contribuables de financer de telles études);
  10. Que la Commission européenne propose un cadre législatif portant sur la qualité
  11.  et l'intégrité des processus d'expertise ainsi que sur la prévention des conflits d'intérêt, notamment en ce qui concerne les agences européennes.


Premiers signataires :

,

 

 

 

http://huff.to/REycwu

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 19:07

OGM

par Info'OGM

 

 

FRANCE – De droite et de gauche, cinq ex-ministres de l’Ecologie réclament une réévaluation des OGM
par Christophe NOISETTE , 8 novembre 2012

Le 29 octobre dans le journal gratuit 20 minutes, les trois ex-ministres de l’Ecologie, Mesdames Royal (PS), Lepage (ex-Modem) et Voynet (Europe Ecologie - Les Verts) ont demandé une réévaluation complète du maïs génétiquement modifié NK603 et de l’herbicide Roundup. Il s’agit des deux produits de Monsanto que l’équipe de Gilles-Eric Séralini avait étudié pendant deux ans concluant à un doute quant à l’innocuité sur la santé. Dans leur lettre ouverte, les ex-ministres se réjouissent « de la volonté exprimée (...)

 

 

ETATS-UNIS - Les OGMne seront pas étiquetés en Californie
par Christophe NOISETTE, 7 novembre 2012

 

 

 


UE - Demande d’autorisation d’OGM : les analyses de toxicologie sont-elles obligatoires ?
par Eric MEUNIER, 26 octobre 2012

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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 20:14

OGM

 

du Midi Libre

 

OGM : l'étude du chercheur jugée "insuffisante", Monsanto est rassuré

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L'étude jugée "insuffisante" montrait des tumeurs grosses comme des balles

de ping-pong sur des rats nourris avec un maïs OGM de Monsanto.

(AFP - PHILIPPE HUGUEN)

Arrivera-t-on à savoir un jour si les OGM sont dangereux pour notre santé ?

Dès qu'une étude scientifique accuse les Organismes Génétiquement Modifiés,

un contre-avis fait immédiatement son apparition...

L'étude du chercheur Gilles-Eric Séralini mise en doute

Le 19 septembre, le chercheur Gilles-Eric Séralini publiait dans la revue "Food and Chemical Toxicology" les résultats d'une étude portant sur le maïs OGM NK603 et l'herbicide Round Up, produits par Monsanto et importés en Europe. L'étude montrait des tumeurs grosses comme des balles de ping-pong sur des rats nourris avec un maïs OGM de Monsanto.

Une véritable "bombe" dans le monde de l'industrie agro-alimentaire puisque ses conclusions (si elles étaient validées) remettraient en question les procédures d'autorisation pour la culture et la consommation d'OGM dans toute l'Union Européenne. Ce qui représente des enjeux financiers très importants.

Jean-Marc Ayrault avait annoncé que si le danger des OGM était vérifié, la France "défendrait au niveau européen" leur interdiction. La Commission européenne avait

alors demandé à l'Autorité européenne de sécurité des aliments (European Food Safety Authority / Efsa) d’examiner cette étude pour pouvoir en "tirer les conséquences".

Une étude "inadéquate" et "insuffisante"

La méthodologie de l'étude de Gilles-Eric Séralini était alors au coeur des critiques :

son expérimentation concernerait un trop petit nombre de rats, le type de rat

utilisé serait connu pour développer des tumeurs cancéreuses, la composition

précise de l'alimentation exacte des rats ne serait pas fournie...

Hier, l'Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) a finalement rejeté en l'état l'étude du chercheur Gilles-Eric Séralini la jugeant "inadéquate" et "insuffisante", pour l'agence "aucune conclusion ne peut être tirée au sujet de l'occurrence des tumeurs chez les rats testés".

Monsanto : "L'alimentation OGM est sûre"

Après cette décision, Monsanto déclare : "Nous prenons bonne note de l'avis de l'Efsa qui ne remet pas en cause la sécurité de nos produits" ajoutant que "Les autorités scientifiques du monde entier ont évalué les cultures OGM depuis de nombreuses années, en particulier en Europe, et ont délivré des autorisations de mise sur le marché, en s'appuyant sur leur conclusion que l'alimentation OGM est sûre."

Objectivité de l'Efsa ?

L'objectivité de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) a souvent

été mise en doute (et pas seulement par les écologistes) pour ses liens possibles avec l'industrie agro-alimentaire.

En 2010, José Bové notait le lien étrange entre la présidente de l’agence qui était

aussi une ancienne membre du comité scientifique de l’Institut International des

Sciences de la Vie, association regroupant de grandes entreprises de l'industrie agro-alimentaire... Pour Corinne Lepage : "L'Efsa est une agence qui s'auto-protège".

 

 

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30 septembre 2012 7 30 /09 /septembre /2012 17:43

OGM

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29 septembre 2012 6 29 /09 /septembre /2012 18:25

Le Canard Enchainé du 26 sept 2012

 

De toute façon il n'a pas choisi les bons rats. Deux ans de travail mais en se trompant   de cobayes ! Ce professeur Séralini est décidément bien niais. Il n'y connaît rien. D'ailleurs c'est un mi-li-tant, puisqu'il se revendique anti-OGM.                                Donc il est de parti pris. Alors que tous les autres, les pro-OGM, font preuve d'une impartialité qui les honore. Non seulement ce Séralini a choisi la mauvaise souche 

de rats mais il n'en a pas pris assez : 200 rats, ça ne suffit pas pour faire de bonnes statistiques. En plus il prétend que son étude est une première et que jamais

on n' avait testé aussi longtemps les effets d'un OGM sur les rats : ce n'est pas vrai.

De toute façon tranche un prof australien ( "Les Echos", 20/9 ), si cette étude est vraiment pertinente, " pourquoi les Américains ne tombent-ils pas comme des mouches ?".
Bon, on le voit, c'est un vrai tir de barrage qui a accueilli l'étude de Séralini, selon laquelle les rats nourris avec le maïs transgénique Monsanto NK 603 développent beaucoup plus de tumeurs que les autres et meurent de façon nettement plus précoce.

Il est vrai qu'il l'a bien cherché, en lançant son étude scientifique comme une savonnette, avec plan média orchestré par une agence de com, exclusivité accordée au "Nouvel Obs" avec titre à sensation ( "Oui, les OGM sont des poisons !" ), documentaire sur France 5, film en salles, bouquin signé Séralini ( Chez Flammarion ) et autre bouquin signé Corinne Lepage ( chez Charles Leopold Mayer ). Et là il y a de quoi tiquer : est-ce ainsi que doit avancer la science ? Pourquoi Séralini s'est-il adressé à deux fondations privées, dont celle de Gérard Mulliez, le patron d'Auchan, pour décrocher les 3,2 millions qu'a coûté son étude ? Pourquoi ce genre de recherche n'est-il pas mené par des organismes d'Etat impartiaux et hors de toute influence ?
En lisant " Tous cobayes !", le bouquin de Séralini, on a un début de réponse : parce que l'Etat n'est pas impartial. Parce que " le ministère de la recherche incite les directeurs de laboratoire à collaborer avec les industriels de façon à financer leurs activités".
Parce que Etat et industriels marchent main dans la main, et gare aux gêneurs. Dernier exemple en date : la rude et longue bataille qu'a dû mener Irène Frachon contre experts et autorités en tout genre pour faire éclater le scandale du Mediator. Au long de sa carrière, Séralini en a vu des vertes et des pas mûres, autorités de l'Ira et du CNRS qui se désolidarisent de ses études, crédits de recherche supprimés, violentes attaques ad hominem, notamment quand Marc Fellous, président de la Commission du génie biomoléculaire, l'a traité de " chercheur qui se prétend indépendant alors que ses études sont financées par Greenpeace", de "marchand de peur" dont " les déclarations médiatiques sont systématiquement contestées par la communauté scientifique"

( Fellous a été condamné pour diffamation ).
Tout cela, évidemment, ne prouve pas que Séralini a raison. Son étude, comme bien d'autres avant elle, peut-être entachée d'erreurs, rectifiée, si ce n'est contredite par des recherches ultérieures. Que la science avance à coups de controverses, c'est normal. Mais cette affaire montre l'existence d'un climat détestable. Que des chercheurs qui se veulent à contre-courant en soient réduits à utiliser des méthodes marketing pour se faire entendre, cela prouve, s'il en était besoin, que la recherche publique n'est pas toujours ce qu'elle prétend être : indépendante, au-dessus des jeux d'intérêts,

guidée par le seul souci de la vérité. De plus en plus elle penche du côté des lobbys industriels et néglige les simples citoyens...

 

Jean-Luc  PORQUET

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29 septembre 2012 6 29 /09 /septembre /2012 18:18

OGM

Appel à signatures des organisations de la société civile pour la transparence sur les données des dossiers d'évaluation

Bonjour,
 
Réunis les 22 et 23 septembre autour de Gilles-Eric Séralini et de Joël Spiroux, des membres des organisations ci-dessous*, après avoir entendu
les explications de ces chercheurs sur leur récente publication mettant
en cause l'innocuité des OGM, avons décidé de contacter d'urgence les
associations de la société civile, avec l'objectif de remettre en cause les instances
d'évaluation des OGM et des pesticides. Nous constatons que les attaques
des chercheurs, ceux-là mêmes qui ont autorisé les OGM, visent un but :
évacuer tout débat sur les risques liés aux OGM et aux pesticides, et le
déplacer vers une controverse incompréhensible du public sur les protocoles
scientifiques.
 
Pour ne pas se faire enfermer dans ce piège, nous avons décidé de lancer
une vaste campagne visant à exiger la publication des données brutes des
études qui ont permis les autorisations des OGM et des pesticides. Il
est en effet indispensable d'expertiser toutes les études et non les
seules études défavorables aux OGM ou aux pesticides. La lumière sera ainsi faite sur
l'absence de toute évaluation effective.
 
C'est pourquoi nous vous appelons à faire signer par vos organisations
l'appel suivant, ainsi qu'à le diffuser dans tous vos réseaux, avant le
28 septembre, et de renvoyer votre signature à  : ogmsante@gmail.com
 
Cet appel signé sera ensuite remis la semaine prochaine aux autorités
publiques compétentes sur ce dossier (Premier ministre, ministres de la
recherche, de la santé, de l'agriculture et de l'environnement...).
 
 
* Organisations présentes (premiers signataires et en cours de
confirmation de signatures de cet Appel) : Alliance internationale Terre
Citoyenne, Chaire Terre citoyenne de l'Université Polytechnique de
Valencia, Combat Monsanto, Nature et Progrès, Confédération paysanne,
Génération Future, Réseau Semences Paysannes, GRAB, Appel de la
Jeunesse, Collectif Vigilance OGM 16, Intelligence Verte, Inf'OGM


http://www.lesamisdelaconf.org/doc/12-amis/doc/OGM-sante-Appel-transp-evalua.pdf

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  • : Le blog de Bien Vivre à la Campagne et pour cette année le 8 juillet La Fête du Lac de Marcenay
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