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23 mai 2015 6 23 /05 /mai /2015 20:12

Bilan de la cyberaction : AREVA- la Hague, poubelle atomique, dans le lieu et dans le temps !

Une enquête publique a lieu en ce moment ( du 13 avril au 18 mai 2015) dans les mairies de la Hague dans un rayon de ...5 km autour de lʼusine. AREVA NC y présente une demande de modification de lʼINB 116 (UP3-A), visant à doubler la capacité dite “dʼentreposage”, mais en fait, de stockage des déchets vitrifiés produits par lʼusine.
C'est l'histoire d'un "entreposage" qui ne veut pas dire son nom : poubelle atomique .
..

la suite: http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/areva-hague-poubelle-atomique-lieu-954.html

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9 février 2014 7 09 /02 /février /2014 21:19
Mediapart
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Nucléaire : un problème

d’usure menace près

de la moitié des réacteurs

PAR JADE LINDGAARD

Près de la moitié des réacteurs nucléaires sont menacés par un phénomène d’usure des gaines de combustibles,

selon un document interne à EDF que s’est procuré Mediapart. L'électricien s'est lancé dans un véritable bras

de fer avec l'Agence de sûreté nucléaire sur le sujet.

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9 février 2014 7 09 /02 /février /2014 19:45
Soutenez les bloqueurs d’uranium, signez la pétition !

Le 12 septembre dernier, près de Narbonne, 40 membres du collectif Stop Uranium ont bloqué un camion chargé d’uranium pour dénoncer les risques des convois radioactifs qui sillonnent la France sans qu’élus et populations en soient informés.

Le 20 février, 23 personnes sont convoquées au tribunal. Elles encourent 2 ans de prison et 4500 euros d’amende. Refusez la criminalisation des lanceurs d’alerte et apportez-leur votre soutien : signez la pétition, et si vous le souhaitez, postez votre photo pour vous manifester à leur côté !

 

> Je demande la relaxe des bloqueurs d’uranium !

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19 mai 2013 7 19 /05 /mai /2013 19:16
mardi 21 mai à 20h50, 68 min    sur ARTE

 

Voici quarante ans, les concepteurs des centrales nucléaires n'avaient pas prévu que, devenus trop vieux et donc dangereux, les réacteurs devraient être un jour démontés, et qu'il faudrait stocker leurs déchets hautement radioactifs. Un état des lieux alarmant sur les dangers de la déconstruction des sites nucléaires.

 

extrait

 

 

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1 mai 2013 3 01 /05 /mai /2013 17:56
Le réacteur n°2 de Fessenheim jugé bon pour le service jusqu'en 2022

NUCLEAIRE - A condition qu'EDF réalise des travaux pour améliorer la sûreté de la centrale, juge l'ASN...

 

François Hollande s’était engagé à fermer la plus vieille centrale française en 2016,

mais l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) n’est pas prête à l’envoyer à la casse. Le réacteur n°2 de Fessenheim (Haut-Rhin) est autorisé à fonctionner jusqu'en 2022 à condition qu'EDF réalise des travaux pour améliorer sa sûreté, a indiqué lundi l’ASN. L'ASN impose à EDF de réaliser avant le 31 décembre 2013 un renforcement du radier et la mise en place d'une source de refroidissement de secours, comme elle l'avait fait pour le réacteur n°1 en juillet 2011.

Des travaux pour 20 millions d’euros

Le gendarme du nucléaire a déclaré qu'il donnerait en 2015 sa décision sur une éventuelle exploitation après 40 ans mais le réacteur 2 de Fessenheim est de fait autorisé à fonctionner jusqu'à ses 45 ans. «D'une manière générale, la conception identique des

deux réacteurs situés sur le même site a conduit à imposer au réacteur n°2 des prescriptions semblables à celles du réacteur n°1», dit l'ASN dans son communiqué, précisant que des prescriptions spécifiques ont également été réclamées. «Ayant fixé

ces prescriptions, l'ASN n'a pas d'objection à la poursuite de l'exploitation du

réacteur n°2 de la centrale de Fessenheim au-delà de son troisième réexamen décennal», ajoute l'ASN, dont l'inspection a duré près d'un an.

Fessenheim 2 est le quatrième réacteur dont l'ASN autorise l'exploitation après 30 ans.
Les travaux sur le réacteur n°1 avaient été estimés à environ 20 millions d'euros. EDF n'était pas joignable dans l'immédiat pour estimer le coût de cette deuxième série de travaux. Des organisations anti-nucléaires réclament que les travaux entamés soient abandonnés par l'électricien. L’IRSN rappelle pour sa part qu’un jour de production représente un manque à gagner de l'ordre d'un million d'euros par réacteur et la fermeture de Fessenheim reste jusqu'à présent une «suggestion politique».

 

plus sur :


http://bit.ly/12J7CHN

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 17:58

Greenpeace

 

La population trop peu protégée en cas de catastrophe nucléaire


Greenpeace met officiellement les pouvoirs publics en demeure pour négligence envers

la population dans le cadre de son devoir de protection en cas d’accident nucléaire grave.

 

 

La Belgique compte 21 réacteurs nucléaires sur son territoire et à proximité de ses frontières: 4 à Doel, 3 à Tihange, 1 à Mol, 1 à Borssele (NL), 6 à Gravelines (F), 2 à Chooz (F) et 4 à Cattenom (F). Aucun autre pays ne possède des centrales nucléaires implantées aussi près de grandes agglomérations urbaines. Dans un rayon de 30 km

autour de Doel et de Tihange vivent respectivement 1,5 million et 840 000 citoyens.

Le gouvernement, chargé par des conventions internationales et la législation nationale

de protéger la population, faillit gravement à son devoir.

Plans obsolètes

Greenpeace s’est penché sur les plans d’urgence et d’intervention nucléaire fédéraux existants et constate qu’ils proposent, dans le meilleur des cas, une réponse aux conséquences d’un accident limité ayant un impact radiologique restreint sur l’environnement. Par contre, en cas de catastrophe nucléaire majeure, la zone d’habitation de plusieurs centaines de milliers de personnes risque de subir une contamination telle, qu’elle en deviendrait inhabitable. Les plans d’urgence nucléaire sont désespérément obsolètes et n’offrent aucune solution satisfaisante quant à l’évacuation, à l’accueil et au relogement nécessaires de ces familles.

Un délit de négligence

« Le gouvernement néglige de tirer les leçons des épisodes dramatiques à Fukushima.

Il s’agit d’un délit de négligence. C’est pourquoi nous avons transmis officiellement par huissier une mise en demeure au chef du gouvernement », déclare Eloi Glorieux de Greenpeace Belgique.

Les zones officielles des plans d’urgence nucléaire, pour lesquelles des mesures d’évacuation sont préparées, se limitent à un territoire d’un rayon de seulement 10 km autour des centrales nucléaires. À Fukushima, c’est une zone dans un rayon de 20 km

qu’il a fallu immédiatement vider de ses habitants, tandis que les personnes vivant

jusqu’à 30 km ont été priées de quitter « volontairement » les lieux. Certains villages jusqu’à 50 km ont aussi dû être évacués. Les plans d’urgence belges ne tiennent absolument pas compte de cette réalité et abandonnent la population à son sort en cas d’accident nucléaire grave. Par exemple, le plan d’urgence provincial d’Anvers prévoit quatre centres d’accueil pour les personnes déplacées. Ces centres sont tous situés dans un rayon de 14 à 20 km de la centrale nucléaire de Doel et se trouveraient eux-mêmes, lors d’une catastrophe nucléaire, dans la zone contaminée.

Mesures nécessaires

« Il est aberrant que le gouvernement souhaite prolonger d’encore dix ans la durée

de vie du réacteur Tihange 1 déjà usé et envisage de remettre en service des réacteurs dangereux avec des cuves comportant des milliers de microfissures, alors qu’il néglige

de rédiger des plans d’urgence et d’intervention nucléaire efficaces », souligne Eloi Glorieux de Greenpeace Belgique.

On peut ici clairement parler d’une négligence grave de la part du gouvernement.

Pour cette raison, Greenpeace Belgique met le gouvernement en demeure et le presse

de prendre dans les meilleurs délais toutes les mesures nécessaires afin de protéger

la population contre les conséquences d’un accident nucléaire majeur. Aussi longtemps

qu’il n’y aura pas de plans catastrophe efficaces et éprouvés couvrant l’ensemble du territoire, il ne peut être décidé de relancer des réacteurs dangereux comme Doel 3

et Tihange 2, ni de maintenir Tihange 1 en activité pendant encore dix années.

La mise en demeure est disponible ici.

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